Notre histoire «conte», épisode 14 : Résidences des Pâquerettes, Coquelicots, Glycines, Iris, Jonquilles, Lilas, Pervenche et Tulipes

Mise en place à la fin des années 1950, la citée des Pâquerettes doit vraisemblablement son nom aux fleurs qui tapissaient fossés et talus de la rue des Pâquerettes. Une rue qui verra l’émergence de l’un des plus grands bidonvilles d’Ile de France dans les années 1960, dans lequel de nombreux habitants grandiront.
Une dénomination florale qui a essaimé dans les rue voisines pour donner les noms de Coquelicots, Glycines, Iris, Jonquilles, Lilas, Pervenche et Tulipes aux résidences de Nanterre Coop’ Habitat situées au cœur du secteur des Pâquerettes.
Des fleurs qui apparaissent au début du printemps annonçant ainsi la fin de l'hiver. Le printemps, saison du renouveau, marquée par l'éclosion des bourgeons et par la floraison des arbres, autant de signes que la nature se réveille, et que l’on va vers la lumière !
Avec ses jours qui rallongent et ses températures qui se radoucissent, le printemps symbolise à la fois le renouveau, la jeunesse, la vitalité et l’espoir.
D’un point de vue plus philosophique, c’est aussi une métaphore de la transformation intérieure, du renouveau de l’âme, et de l’éveil de la conscience. Alors profitez bien de ce nouveau départ qu'offre le printemps !

La résidence des Pâquerettes est composée de 680 logements construits en 1962 et répartis sur 19 halls. Réhabilités en 1984, les différents bâtiments des Pâquerettes ont connu des rénovations et modernisations régulières ces dernières années.